A base de pâte à modeler , Mickaël Soutif revisite : "La danse macabre de la Chaise- Dieu" . Exit le connétable, le cardinal-Légat, Le pape. Voici un chirurgien, une adolescente, un footballeur, une artiste ...
"Nous sommes tous égaux devant la mort inexorable"
Hier, Le chevalier, l'empereur, le pape et aujourd'hui, le retraité, le concierge : la mort n'épargne personne.
Absurdes, loufoques, drôles, cruelles, terribles, tendres, la mort recouvre une cape d'humour noir, d'un second degré de pâte à modeler pour cette fresque mortuaire terriblement mortelle.
Voir mort de rire.
Les stéréotypes de nos vies sont détourner pour être encore mieux moqués, dans la délicatesse de ces personnages en pâte à modeler. Le quatrain qui accompagne les illustrations me fait classer cette pépite en poésie car en album, je n'ose pas.
Un postface est accordé sr la fresque de la Chaise Dieu. Une partie assez documentée comme ces moments où après, une bonne crise de fou rire, nous reprenons nos gravités afin de pouvoir reprendre notre sérieux et qu'il suffit d'un regard pour repartir de plus belles.
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